Ancien maire de Lyon, médecin engagé et amoureux de sa ville, Georges Kepenekian est l’une des dernières figures politiques du territoire. Investi pleinement dans ses convictions humanistes, fidèles et cohérent dans son parcours partisan et politique, Georges Kepenekian a dans le sang un attachement viscéral à Lyon. Cette ville qui lui a tout donné et accueilli, lui « le petit Arménien de 5 ans » qui a fait sa vie professionnelle et personnelle entre Saône et Rhône. Il était l’invité politique de Frédéric DUVAL sur Lyon 1ère ce samedi 10 février 2024.
Elu lyonnais avisé, il pose un regard lucide et bienveillant, mais aussi juste et concret sur l’évolution de sa ville et sur l’action de Gérard Colomb, dont il a été très proche depuis les années 1970 et qu’il a remplacé comme maire lorsque celui-ci a occupé les fonctions de ministre de l’Intérieur. Il nous raconte en détail les coulisses de son engagement à ses côtés et les grandes décisions prises lors des 3 mandats de l’ancien maire, qui ont contribué à transformer la ville. Il évoque notamment, sur le fond et dans la forme, ce qui a fait la particularité de ce « modèle lyonnais » qui a permis, dans le consensus et le dialogue de faire de la capitale des Gaules, la métropole attractive et appréciée qu’elle est aujourd’hui.
Attentif à tous les sujets et enjeux qui font la cité d’aujourd’hui, fin connaisseur des dossiers et des hommes, il fait un bilan posé, mais sans complaisance de la gestion actuelle des écologistes insistant notamment sur leur méconnaissance de la spécificité et de l’histoire Lyonnaise. Une dimension sociologique et historique et un « temps long » insuffisamment pris en compte qui explique selon lui certaines erreurs commises, tout en partageant le constat d’une urgence pour l’avenir de la planète et du climat.
Il nous raconte en détail les coulisses de son engagement à ses côtés et les grandes décisions prises lors des 3 mandats de l’ancien maire, qui ont contribué à transformer la ville. Il évoque notamment, sur le fond et dans la forme, ce qui a fait la particularité de ce « modèle lyonnais » qui a permis, dans le consensus et le dialogue de faire de la capitale des Gaules la métropole attractive et appréciée qu’elle est aujourd’hui.
Médecin, grand chirurgien urologue, il s’est évidemment beaucoup tourné vers les enjeux du soin en développant le concept de « santé globale ». Une manière d’intégrer à l’échelle d’un territoire l’ensemble du vivant : l’humain ; l’animal et l’environnement. Une vision qui place la prévention et non plus simplement le soin au centre des préoccupations stratégiques et des décisions des édiles. En tant que président du groupe Progressistes et Républicains, auquel appartient David Kimelfeld, il s’attache à proposer des idées concrètes et à favoriser le rassemblement des énergies et compétences autour d’un projet alternatif auquel il prendra toute sa part lors des prochaines échéances.
L’interview complète est à retrouver en podcast sur LYON 1ERE.